Ça fait un petit moment que ça me trotte dans la tête… J’ai mis du temps à écrire cet article parce que ça a été difficile pour moi de réagir à chaud sur mon “expérience” avec les haters. Cachés derrière leurs écrans, ils peuvent faire de gros dégâts.

Ça fait un petit moment que ça me trotte dans la tête…

J’ai mis du temps à écrire cet article parce que ça a été difficile pour moi de réagir à chaud sur mon “expérience” avec les haters.

Cachés derrière leurs écrans, ils peuvent faire de gros dégâts.

Les haters et autres trolls peuvent vous faire du mal et ébranler votre confiance en vous et en vos compétences

Alors j’avais envie de vous partager mon vécu parce que je me dis que ça pourrait vous aider à passer ce cap difficile.

Si ça aide ne serait-ce qu’une seule personne, j’en serais ravie.

Et si je peux également contribuer à une prise de conscience collective, alors j’aurai gagné.

Dans cet article, j’ai envie que vous compreniez que ce n’est pas une fatalité, que vous pouvez transformer cette épreuve en véritable force (même si ça vous paraît contre-intuitif au 1er abord).

Alors je me lance (attention, pavé en vu 😅).

Commençons par un flashback en 2018…

Mes débuts de formatrice : mon erreur sur les réseaux sociaux

Quand j’ai lancé ma première formation sur l’affiliation fin 2018, tout allait bien.

Je n’avais aucun souci par rapport à mon image de marque. Je ne suis jamais montrée et ça ne dérangeait personne. Mes élèves étaient satisfaits, j’avais de bons retours, jusqu’au jour où…

J’ai voulu aller plus loin en montrant que la méthode que j’enseignais fonctionnait et apportait des résultats concrets.

Je pensais que mes résultats allaient inspirer les mamans qui avaient peur de se lancer. Mon intention était de leur donner confiance, pour qu’elles se rendent compte que l’on peut partir de rien et générer de beaux résultats en quelques mois.

Mais je n’avais pas imaginé ce que j’allais déclencher malgré moi.

J’ai donc dévoilé mes résultats en tant qu’affiliée sur les différents réseaux sociaux.

En parallèle, j’ai également commencé à montrer mes résultats chiffrés en tant que formatrice.

Et c’est à ce moment-là qu’une première vague de haters a fait son apparition.

En partant d’une bonne intention, j’ai attisé les jalousies. Et clairement, je ne l’avais pas vu venir.

Avec le recul, je ne sais pas si j’étais naïve. Mes intentions étaient bonnes. Les personnes qui me connaissent savent que je suis tout sauf quelqu’un de bling bling. Sur le moment, je me suis dit que j’avais fait une erreur.

Pourtant aujourd’hui avec le recul, je ne regrette pas car lorsque que j’enseigne quelque chose, j’estime que je dois montrer que ce que j’enseigne fonctionne vraiment. Et finalement, pour l’immense majorité de mon audience j’ai réussi mon pari, car elles se sont lancées.

Les résultats que j’ai dévoilés leur ont fait prendre conscience qu’il est possible de se lancer sans se montrer.

Des haters, il y en aura toujours et il ne faut pas faire en fonction d’eux, même si je dois bien reconnaître que depuis cet « épisode » je fais malheureusement plus attention à ce que je montre, puisque force est de constater que c’est à partir du moment où j’ai dévoilé mes résultats que j’ai commencé à recevoir des mails de personnes que je ne connaissais pas. C’était violent, incendiaire et haineux.

Parmi ces haters, il y avait une personne en particulier qui (je l’avoue) me faisait un peu peur parce que je sentais derrière ses mots une sorte d’obsession…

Un troll a pris en “otage” mes affiliées

Cette personne contactait mes followers et des membres de ma communauté pour me dénigrer.

Elle est même entrée en contact avec mes affiliées en leur disant qu’elle m’avait démasquée… Selon elle, j’avais créé un compte fictif sur Instagram en me faisant passer pour une élève de ma formation Les Reines de l’Affiliation.

En agissant ainsi, mon objectif aurait été de faire croire à mon audience que mes élèves avaient de super résultats grâce à la formation.

Bien évidemment, tout ceci est faux.

Cette personne (je devrais dire ce troll) me suivait avec 3 comptes Instagram différents. Et entre nous, je pense qu’elle était un peu “dérangée”. Clairement… cette situation commençait à devenir flippante.

Vu sa virulence, je sentais qu’elle était capable de dénicher mon adresse pour venir frapper à ma porte. J’avais l’impression qu’elle ne cherchait pas uniquement à nuire à ma réputation.

Et vous n’imaginez pas à quel point j’étais soulagée de vivre au Maroc… parce que mon éloignement me “protégeait” d’elle et de son harcèlement.

Ce que je ne savais pas encore à cette époque là, c’est que cette “anecdote” n’était que le début de mon “expérience” avec les haters

2e hater : une attaque diffamatoire

Un jour de l’été 2020, une femme sortie de nulle part et qui avait vu passer ma formation sur un groupe Whatsapp a posé une question à un savant religieux sur ma formation. Le petit hic, c’est qu’elle a délibérément orienté sa question.

Elle a présenté ma formation comme un système de recrutement. Elle a confondu (ou menti délibérément, allez savoir…) avec une entreprise de MLM.

Grosso modo elle disait que l’unique but de ma formation était de recruter de nouveaux élèves. Ce qui n’est évidemment pas le cas, d’ailleurs, si elle avait pris le temps de me contacter avant elle se serait vite aperçue de son erreur.

A cela elle ajoutait que je faisais la promesse à mes élèves de gagner 1 000 euros en 2 jours, alors que j’explique bien dans ma formation gratuite qu’il s’agit de mon expérience personnelle et que je ne fais aucune promesse de résultat car cela dépend de trop de facteurs que je ne maîtrise pas.

L’objectif de sa question était évidemment d’avoir une réponse allant dans le sens de sa question (et donc de satisfaire son ego plutôt que d’être dans une quête sincère de vérité).

Après avoir obtenu ce qu’elle désirait, elle s’est empressée de faire diffuser cette fausse information sur tous les réseaux (et comme les gens aiment les polémiques, ils se sont empressés de relayer cette calomnie sans chercher à démêler le vrai du faux).

J’ai dû répondre à de nombreuses personnes qui pensaient que ce que je faisais n’était pas permis. J’ai dû démentir, répondre et expliquer que ce que j’inculquais en tant que formatrice n’allait pas à l’encontre des convictions personnelles et des valeurs prônées par ma communauté religieuse.

D’ailleurs, plusieurs savants se sont déjà exprimés au sujet de l’affiliation en indiquant que cela est permis.

Ce qui m’a le plus dérangé dans cette histoire est que c’était mensonger, gratuit.

Et je vais être complètement transparente avec vous : cette diffamation m’a agacée, mais pas vraiment touchée.

Ce qui m’a le plus touchée, c’est une 3e “expérience” avec un hater sur Instagram…

Le hater de trop…

Un jour, un homme a créé un compte Instagram, puis a publié un post complet sur la plateforme pour dénigrer ma formation.

Là…. ça m’a touchée en plein cœur.

En lisant son post, j’ai tout de suite compris sa démarche : créer un bad buzz et développer sa notoriété en utilisant ma formation…

La personne espérait que je repartage son post à ma communauté en disant « regardez cette personne qui raconte n’importe quoi ». Et comme ma communauté est engagée, elle s’imaginait que j’allais lui demander de me défendre.

N’étant pas dupe sur son stratagème, j’ai décidé de ne pas réagir aux commentaires et au post, de l’ignorer pour ne pas rentrer dans son jeu. Je n’ai fait aucun commentaire et n’ai rien partagé.

Et puis entre nous, j’avais autre chose à faire.

Mais je dois avouer que ça m’a blessée parce qu’en dehors du post en lui-même, il y avait des commentaires négatifs de personnes qui m’ont attaquée et dénigrée. Ces personnes ne me connaissaient pas et certaines d’entre elles avaient acheté ma formation, mais ne l’avaient pas appliquée.

C’était blessant. J’ai arrêté de lire les commentaires laissés, pour me protéger.

Des élèves ont bien tenté de laisser des commentaires pour me défendre, mais l’auteur du post les a tous effacés.

Mon but premier a toujours été d’aider les autres. J’ai toujours fait mon travail avec le cœur. Et qu’on me fasse passer pour une arnaqueuse, clairement, ça m’a blessée.

J’ai une relation forte avec mon audience et le fait que l’on remette en cause mon honnêteté a été dur. Au point d’en pleurer pendant plusieurs jours.

Et pour couronner le tout, il a employé une technique qui est tellement éloignée des valeurs que je porte que j’avoue ne pas comprendre…

La technique du bad buzz

Dans son post, il annonçait qu’il considérait ma formation comme étant de mauvaise qualité. Et comme il voulait “vraiment” aider les personnes à se lancer en affiliation, il indiquait à ses followers qu’il allait en créer une qui serait gratuite.

Le fait de me dénigrer le faisait passer pour un héros qui allait sauver les honnêtes gens avec une formation offerte et de qualité.

Et effectivement, il a tenu promesse (enfin presque)…

Il a sorti sa formation gratuite quelques semaines plus tard.

Sauf que… sa formation n’a été gratuite qu’une semaine.

Et à l’issue de cette semaine, elle est devenue payante.

Son post initial avait un objectif bien précis : faire du bad buzz pour ensuite vendre ses propres produits.

Je ne comprends pas cette stratégie de communication, ce besoin d’écraser les autres pour réussir.

En y repensant, une citation que j’apprécie me vient en tête : “J’aime les gens qui pour briller n’éteignent pas les autres”.

Cet homme et moi ne partageons pas les mêmes valeurs.

Le pire dans tout ça est que ce hater a acheté ma formation et qu’il ne m’a jamais contactée, ni demandé de remboursement parce ma formation n’était pas à la hauteur de ses attentes (ce que je peux concevoir).

J’en déduis (peut-être à tort ?) qu’il l’a acheté uniquement pour pouvoir la critiquer.

Je comprends d’autant moins dans la mesure où quand je n’aime pas une formation, je ne vais pas me forcer à la regarder dans son intégralité.

Mon premier réflexe sera d’échanger avec le formateur. De lui expliquer ce qui ne me convient pas. Mais jamais je n’irais publier un post pour l’afficher en place publique

Cette démarche de dénigrement est à la fois gratuite et malveillante. Les intentions sont malsaines… et malheureusement, vous devez vous préparer à en recevoir un jour ou l’autre et à les gérer psychologiquement.

Et entre nous, même si c’est douloureux, vous pouvez en retirer du positif.

Voyons tout de suite comment.

Comment répondre aux haters (en les ignorant personnellement)

Le fait d’en parler m’a beaucoup aidé. Nawel, ma webmaster, m’a parlé d’une personne à qui il était arrivé la même chose sur Instagram.

Cette personne créait des sites web et elle s’était fait littéralement incendier. On lui reprochait de créer de mauvais sites web. En entendant ces critiques, elle a décidé de se former à fond, pour ensuite proposer à ses clients des sites web de folie.

Finalement, elle a réussi à clouer le bec à ces haters qui l’ont attaquée sur les réseaux sociaux. Depuis, elle fait des sites de qualité nettement supérieure et ses prix se sont envolés (logique).

Entendre son histoire m’a fait du bien. J’ai trouvé à travers elle le courage de reprendre les critiques mal intentionnées dans le post Instagram qui m’attaquait.

Voici ce que j’en ai retenu.

En transformant une épreuve en force

A la relecture du post, il y avait des choses vraies :

  • La qualité de mes vidéos n’était pas terrible.
  • Le son était mauvais et on entendait parfois mes enfants en fond sonore (quand je dis parfois c’était dans 2 vidéos 😅)

Sur ces 2 points, j’étais d’accord avec lui.

Il disait également que je mentais en annonçant que j’avais gagné 1 000 euros en 2 jours, alors que j’avais en réalité gagné 996 euros. Il avait raison car je le disais dans ma formation.

Alors nous sommes d’accord que pour 4 euros, ce n’est pas LE mensonge du siècle. Mais sur le principe j’assume complètement parce que c’est vrai.

J’ai donc pris en compte les critiques que je trouvais constructives et j’ai occulté ce qui était faux parce que c’était “gratuit”.

Finalement, j’ai transformé cette épreuve en force en reprenant point par point ce qu’il disait.

Ne voulant plus jamais revivre ça, il fallait que j’empêche ces haters de m’attaquer gratuitement. A mon tour, je voulais leur clouer le bec.

Et pour ça, je me devais d’aller encore plus loin dans l’accompagnement de mes clients. Je voulais faire les choses encore mieux en donnant toutes mes connaissances sous une forme plus attractive.

J’ai donc entamé un processus que j’avais déjà annoncé quelques mois plus tôt sur mes réseaux. Sauf que là, ça m’a donné la rage d’aller encore plus loin, de faire encore mieux et de m’y attaquer tout de suite avant mes autres projets.

En renforçant la valeur que l’on souhaite apporter aux autres

J’ai alors commencé par refaire mon bonus en indiquant que je n’avais pas gagné 1 000 euros mais 996, pour coller à la réalité.

Dans ce bonus gratuit que j’ai totalement refait, j’ai ajouté une partie prévention en insistant sur 2 croyances :

  • L’affiliation n’est pas facile car c’est un vrai business qui demande de l’investissement personnel.
  • Je ne vends pas du rêve : si l’argent ne tombait du ciel, ça se saurait.

J’ai vraiment insisté sur ces 2 points parce que j’ai constaté que l’affiliation peut attirer des personnes qui pensent qu’il n’y a rien à faire, que c’est un business où tout se fait tout seul.

D’ailleurs, les personnes qui avaient commenté le post qui m’incriminait faisaient clairement partie de cette catégorie de personnes et elles avaient été déçues en voyant qu’il fallait travailler pour avoir des résultats. Donc j’ai tout fait pour ne plus avoir de “touristes” dans ma formation.

Mon objectif n’est pas de vendre pour vendre.

J’ai envie d’aider des personnes qui sont motivées et prêtes à se retrousser les manches. J’ai envie qu’elles réussissent et qu’elles soient fières d’elles.

Alors j’ose le dire et tant pis si ça ne plaît pas.

Je reste fidèle à mes valeurs.

Cette formation gratuite, je l’ai complètement refaite parce que je voulais que les personnes qui la suivent puissent passer à l’action tout de suite et qu’elles se rendent compte que c’est possible quand on s’en donne les moyens.

J’aurai très bien pu faire une vidéo de vente. Donner un module de ma formation pour donner envie de continuer. Et ça aurait fonctionné.

Mais je voulais aller encore plus loin. Cette formation n’est donc pas une vidéo de vente lambda. C’est une vraie formation.

Mon objectif est aujourd’hui atteint car j’ai des élèves qui ont des résultats après l’avoir visionnée.

Et ça, j’en suis fière car ma formation gratuite permet d’avoir des résultats en passant à l’action.

Et ce témoignage me démontre que j’ai eu raison de ne rien lâcher :

Témoignage formation gratuite en affiliation

En proposant une offre encore plus poussée (grâce aux critiques négatives)

Après la refonte de mon bonus gratuit que j’ai transformé en formation offerte, je me suis attaquée à la refonte complète de la formation les Reines de l’Affiliation.

Depuis le lancement de la première version en 2018 où je débutais, j’ai progressé.

A l’époque, ça pouvait paraître amateur car je ne savais pas faire de montage, ni filmer correctement. Et je n’avais pas le bon matériel pour un son de qualité.

J’ai toujours eu à cœur de montrer à mon audience qu’on peut réussir en étant débutant et en partant de zéro.

C’est pourquoi je m’étais concentrée sur les informations que je communiquais, beaucoup plus que sur la forme.

J’ai pu prouver et montrer que le fait de ne pas savoir faire de montage n’empêchait pas d’apporter de la valeur à ses clients.

Mes compétences ayant évolué depuis, c’était une continuité logique de refaire cette formation. J’ai donc grandement amélioré le niveau sonore et le montage qui ont ajouté de la qualité au niveau de l’expérience de mes élèves.

J’ai également refait tous les visuels et supports de cours.

Et j’ai également intégré toutes les questions que j’avais reçu de la part de mes élèves dans le groupe WhatsApp.

Quand on monte en expertise, c’est parfois difficile de se remettre dans la peau d’une personne qui part de zéro.

Clairement le groupe Whatsapp m’a beaucoup aidé à apporter à mes élèves une solution parfaitement adaptée à leurs besoins.

Avec tous leurs retours, je savais où se situaient leurs difficultés et ça m’a permis de refaire la formation de sorte à ce qu’elles n’aient plus aucune question à se poser.

Autre conséquence logique : le groupe WhatsApp a désormais pris une toute autre dimension.

Il est maintenant centré sur :

  • la mise en pratique de la formation
  • des points de blocage spécifiques (non récurrents)
  • le partage de bons plans et bonnes pratiques
  • la motivation et l’entraide

Ce groupe est une vraie pépite. Vous n’imaginez pas à quel point je suis fière de mes élèves.

Au final, je me dis qu’il y a beaucoup de positif derrière ces épreuves.

En prenant conscience que la critique négative fait mal, mais qu’il existe malgré tout du positif…

Ce que je retiens de mes expériences avec les trolls et que j’ai envie de vous partager est qu’il faut être conscient qu’il y a des haters et qu’il y en aura toujours.

Alors oui : ça fait mal.

Mais ça fait partie du « jeu ».

C’est triste à dire, mais à partir du moment où on ne vous connaît pas et que vous n’avez pas encore beaucoup de visibilité, vous ne dérangez personne. On ne viendra pas vous attaquer.

En revanche, à partir du moment où vous commencez à bien cartonner, vous attirez inévitablement des jalousies et des intrus. Ca fait ch***, il faut le dire. Mais c’est comme ça que ça fonctionne et il faut s’y préparer.

Au début, on pourrait se dire que travailler sur internet est tout beau tout rose.

C’est faux.

Plusieurs élèves de ma formation ont aussi été victimes d’attaques sur les réseaux sociaux.

Dites vous que les gens cachés derrière leur écran, sous couvert d’anonymat, profitent de cette « facilité » à déverser leur haine et leur méchanceté.

Ils ne se rendent pas compte qu’il y a de vraies personnes derrière.

C’est triste.

Quand on est victime d’attaques gratuites, sur le coup, on a envie de baisser les bras, mais il ne faut pas.

Il faut avoir l’humilité d’écouter les critiques constructives et de les accepter, même si elles sont mal formulées, avec un ton blessant.

En agissant ainsi, vous progresserez.

Et pour ce qui concerne les propos purement méchants et gratuits, ne vous attardez pas dessus. Votre temps ne mérite pas d’être gaspillé.

Et dans les moments difficiles, concentrez-vous sur les avis de vos clients.

En se concentrant sur les avis positifs des clients satisfaits

Je sais à quel point nous avons tendance à nous concentrer sur le négatif. C’est ce que nous avons le plus de facilité à retenir.

Si vous constatez que 99 personnes vous disent que ce vous faites est bien, et qu’un seul avis négatif ou client mécontent vous dit le contraire, concentrez vous sur les 99 personnes. Ne les oubliez pas au profit d’une seule parce qu’elle est virulente.

Mettez votre énergie au profit de personnes que vous pouvez vraiment aider et laissez de côté les autres car vous ne pourrez de toute façon pas aider tout le monde.

Personnellement, ce qui m’a fait du bien a été de me concentrer sur tous les avis positifs que j’avais reçu. Je suis allé relire mes Stories permanentes sur Instagram pour me remonter le moral et me dire que je ne faisais pas tout ça pour rien.

Je me suis rendu compte à ce moment-là que j’avais beaucoup de clients satisfaits. Et que si je ce que je faisais était vraiment nul, je n’aurai jamais eu autant de retours positifs.

Quel que soit votre stade d’avancement dans votre business, vous pouvez vous concentrer sur les avis positifs. Que vous en ayez un ou mille, peu importe. Si vous aidez une personne, c’est la preuve que ce que vous faites est vraiment utile et que vous allez dans la bonne direction.

Les haters : ce qu’il faut retenir pour avancer

Tout n’est jamais complètement négatif et je pars du principe que toute expérience peut (et doit) nous apprendre quelque chose.

Si vous êtes confrontés à des critiques négatives, essayez de prendre du recul parce que :

  • Si vous attirez des haters, c’est parce que vous suscitez des jalousies.
  • Si vous cherchez à tout faire parfaitement, vous ne vous lancerez jamais.
  • Vous ne pourrez pas éviter les critiques, donc concentrez-vous uniquement sur le positif (même si c’est plus facile à dire qu’à faire).
  • Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort : progressez en écoutant les critiques (constructives uniquement).
  • Ne vous sentez pas obligés de répondre à un bad buzz si vous n’en avez pas envie. Votre image n’en pâtira pas, surtout si les propos sont mensongers.

Malgré toutes ces expériences que j’ai vécues, aujourd’hui, je peux dire que je suis vraiment fière de ma formation.

Elle a été intégralement refaite et elle anticipe toutes les questions et tous les blocages que mes élèves pourraient avoir. Et mes élèves ont de vrais résultats.

Je suis consciente de la valeur qu’elle apporte, c’est pour ça que je vais prochainement doubler le prix.

Je sais que je pourrais encore la vendre le double si je le souhaitais. Mais comme l’objectif de ma formation est de commencer à générer ses premiers revenus, je n’ai pas envie de mettre un prix trop élevé.

Garder un prix accessible me tient à cœur parce que j’ai des élèves qui ne sont pas encore lancées et elles n’ont pas de gros moyens. Et je sais que ma formation va les aider à passer le cap.

Pourtant je connais des formations qui sont vendues à 1 000, 2 000 euros et qui sont moins complètes que la mienne.

Ma formation Les Reines de l’Affiliation, je l’ai volontairement pensé comme un coaching, un accompagnement pas à pas pour que mes élèves puissent suivre les différentes étapes sans se poser 36 000 questions.

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