Niveau visuel, je suis complètement nulle (et je pèse mes mots !). C’est pour cette raison que je ne vais pas vous parler de conception graphique, de Photoshop, Indesign, Illustrator, de communication visuelle, de webdesign et encore moins d’arts graphiques aujourd’hui.
En revanche, ce que je sais, c’est qu’en tant que blogueuse, j’ai besoin de graphistes pour travailler. J’ai besoin de ces compétences techniques et artistiques de création visuelle que je ne possède pas. Et quand je recherche une personne pour m’aider dans cette tâche, je regarde toujours son portfolio et jamais si elle a un diplôme de graphiste ou non.
Et je suis loin d’être la seule ! Les blogueuses professionnelles ont besoin d’aide pour la conception visuelle des publications sur leurs réseaux sociaux. Elles ont besoin d’un site internet qui donne envie, d’un logo mémorable. Mais elles ne sont pas toutes nées avec un génie créatif (ou elles n’ont tout simplement pas le temps).
Et c’est peut-être vous qui pourrez leur vendre ce service. Sans aucun diplôme.
Comment ? Je vous explique tout de suite !
Occuper un poste de graphiste sans diplôme : impossible ?
Quand j’ai lancé mon blog et mon compte Instagram, je me suis rendue compte (sans grande surprise) que le graphisme et moi, ça faisait 12 !
C’est donc tout naturellement que j’ai cherché des graphistes pour m’aider à créer mes visuels, mes templates, mon logo, et par la suite les illustrations pour mes formations.
Je ne voulais pas rester bloquée sur cet aspect graphique que je ne maîtrisais pas du tout.
Je n’avais pas envie de faire appel à une agence de communication, qui m’aurait coûté un bras, pour réaliser mes travaux.
J’ai alors recherché des graphistes expérimentées, avec des diplômes… Et j’ai vite compris que je ne pourrais pas faire appel à leurs services. C’était beaucoup trop cher pour mon budget d’entrepreneure débutante.
Pour autant, il fallait que je trouve rapidement une solution, car mon problème était de taille : j’étais nulle en graphisme (je le suis toujours d’ailleurs). Je ne voulais pas que mon blog et mon compte Instagram en pâtissent. Il m’est alors venue une idée…
Et si la formation en graphisme que je recommandais à l’époque pouvait m’aider ?
Parmi les nombreuses personnes qui avaient suivi cette formation, la grande majorité avaient déjà essayé d’apprendre en autodidacte, sans grand succès.
Pourquoi je vous raconte tout ça ? Parce que c’est auprès de ces nouvelles graphistes non diplômées que j’ai enfin trouvé la solution (même si elles n’arboraient pas le diplôme national et le titre professionnel avec le RNCP qui va ”bien”).
Ces mêmes élèves à qui j’avais recommandé cette formation se sont chargées de créer mon identité visuelle.
Tout le monde y gagnait. Les élèves avaient de quoi s’exercer pour agrémenter leur portfolio, et moi j’avais une prestation professionnelle à un tarif plus abordable. Ce qui est hyper appréciable quand on débute.
Comment trouver des clients quand on veut devenir graphiste indépendant (et que l’on débute) ?
Le plus compliqué quand on débute son activité, c’est de trouver ses premiers clients. Parce qu’il faut reconnaître que des graphistes, il y en a beaucoup (entre le graphiste multimédia, le graphiste designer, le motion designer, le graphiste webdesigner et l’infographiste… il y a de quoi s’y perdre avec toutes ces spécialités) !
Tout à l’heure, je vous ai dit que toutes les blogueuses n’avaient pas de compétences en graphisme (comme moi) ou la fibre artistique nécessaire pour réaliser une création graphique.
Pourtant, elles en ont vraiment besoin, pour créer leur charte graphique (tous les éléments, tels que la typographie, les couleurs et formes d’une entreprise), faire de la retouche sur leurs visuels, créer leur logo, surtout lorsqu’elles débutent.
Mais qui dit débuter, dit peu de budget.
Quand j’ai commencé mon activité sur le web, mes premières prestations en rédaction web avaient des prix très bas (à peine 3 centimes le mot). Quand j’écrivais des articles de 1 000 mots, ça me rapportait 30 euros… pour plusieurs heures de travail. C’était un choix délibéré de ma part. Parce que je devais faire mes preuves et me tailler une “réputation”.
Avec l’expérience, j’ai commencé à me faire connaître, me former au copywriting (je vous raconte tout dans cet article sur mon parcours de copywriter).
Progressivement, j’ai commencé à avoir beaucoup de demandes. C’est à ce moment-là que j’ai dû faire le tri dans mes missions et surtout revoir mes tarifs à la hausse. J’ai sélectionné les clients avec qui je voulais vraiment travailler.
Seulement un an après, certaines prestations se chiffrent à plusieurs milliers d’euros… On est loin des centimes de mes débuts. C’est un pas de géant.
Si vous aussi vous voulez présenter un beau portfolio à vos clients, il va falloir vous exercer. En travaillant avec des infopreneurs qui ont un petit budget, vous vous “entraînez” avec des tarifs abordables, sur un marché en pleine explosion. La demande est forte et le bouche à oreille fonctionne très bien dans ce milieu “fermé”.
Progressivement, vous pourrez augmenter vos prix, jusqu’à devenir LA référence dans votre domaine. Pas mal comme stratégie pour se faire connaître, non ?
Travailler en freelance, sans contraintes
Un des gros avantages de devenir graphiste indépendant, c’est que l’on exerce son métier sans avoir besoin de bouger de chez soi, tout en développant des bases solides avec de vrais débouchés professionnels.
Avec le métier de graphiste freelance, vous travaillez à votre rythme, en fonction des horaires que vous vous fixez. Pas besoin d’aller “pointer” en agence.
Nul besoin de diplôme supérieur. Bye bye le niveau bac ou le bac pro qui sélectionne les candidates à l’entrée des écoles privées, comme les DUT ou BTS design option arts appliqués.
Nul besoin de savoir dessiner, ni d’être douée en arts-plastiques. Pas besoin de savoir faire des croquis, car tout se passe sur ordinateur grâce à des maquettes que vous apprenez à créer. Pas besoin de toucher le moindre stylo pour exercer votre métier ! La seule chose dont vous avez besoin, c’est d’un ordinateur.
Pour autant, avoir des compétences en design graphique c’est bien, mais ça ne suffit pas pour vendre vos prestations.
Ophélie ne fait pas partie de ces formateurs qui se contentent de vous montrer uniquement la technique. Ella va beaucoup plus loin. Elle vous prend par la main pour avoir toutes les compétences requises pour devenir une super graphiste, sans quitter votre domicile.
ET elle vous apprend à gérer les différents supports de communication, votre stratégie marketing (et les techniques de communication pour vous faire connaître grâce à vos réseaux sociaux et votre site internet).
Devenir graphiste grâce à une formation de graphiste (pour aller plus vite)
Avec la formation à distance d’Ophélie, vous n’apprenez pas QUE le graphisme.
Vous apprenez à devenir graphiste, ce qui fait toute la différence !
Ophélie vous aide à créer votre offre et trouver vos premiers clients.
Elle vous initie à la conception graphique, aux logiciels professionnels, au web design, mais elle vous aide aussi à gérer votre entreprise, à avoir le bon état d’esprit pour entreprendre et à convaincre vos clients que vous êtes la personne qu’il leur faut.
Quand on est autodidacte, le problème de légitimité se pose à un moment donné. Et cette formation est justement là pour vous aider à prendre confiance en vous et en vos capacités.
L’avantage en graphisme c’est que les clients se fichent pas mal de votre cursus en école supérieure, de votre bachelor, votre master professionnel ou de votre BTS design graphique. Ce qui compte vraiment, c’est le portfolio, les travaux que vous montrez à vos prospects.
Alors si vous aussi :
- vous êtes motivées par l’aventure entrepreneuriale
- vous êtes créatives et que le graphisme vous attire
- vous voulez arrêter de perdre du temps en consommant des tutos à longueur de journée
- vous voulez (vraiment) vous spécialiser et développer un business qui vous ressemble
- vous avez envie de suivre une formation qui va au-delà des aspects techniques
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