La Formation Bonheur d’Eduquer, d’Alexandra Briand, donne les clés d’une éducation bienveillante et pourtant, elle m’a mis une grande claque. Quel paradoxe pour une formation contre les violences éducatives…

La Formation Bonheur d’Eduquer, d’Alexandra Briand, donne les clés d’une éducation bienveillante et pourtant, elle m’a mis une grande claque. Quel paradoxe pour une formation contre les violences éducatives… Rassurez-vous cette claque n’en porte que le nom, c’est en réalité une prise de conscience bouleversante mais nécessaire. Découvrez tout de suite comment cette formation en ligne peut changer votre relation avec vos enfants, vos proches, mais aussi avec vous-même.

Formation Bonheur d’Eduquer : des évidences bonnes à entendre

Pendant la formation Bonheur d’Eduquer, tout paraît logique, beaucoup de conseils sont en fait des évidences. Mais des évidences qu’on a besoin de s’entendre dire.

Le premier module nous fait prendre conscience de notre rôle de parent. Je me suis rendue compte que je n’étais jamais dans le juste milieu :

  • Soit « maman poule » qui répond à tous les besoins et désirs de son enfant sans distinction (soit pour lui éviter des frustrations, soit par facilité pour éviter le conflit) ;
  • Soit « mère rigide » qui ne laisse rien passer, limite autoritaire.

Alexandra Briand m’a fait prendre conscience de plusieurs choses :

  • La nécessité d’être constante dans son éducation;
  • l’importance d’accepter de frustrer son enfant (sur ses désirs et non sur ses besoins) ;
  • et le plus logique : être un modèle.

Ce dernier point est une évidence et en même temps le plus négligé. Combien de fois ai-je hurlé à ma fille « arrête de crier », ou l’ai-je menacé « arrête de taper ta sœur ou tu vas avoir une fessée ». Et oui… on se sent bête d’un coup…

Tout du long de la formation, on a ce sentiment étrange : on se rend compte que beaucoup de nos réactions sont inadaptées, voire néfastes, pour notre enfant. Et pourtant, si nous avions pris le temps d’y réfléchir, c’était logique que nous n’aurions pas dû agir ainsi… Heureusement, Alexandra nous déculpabilise tout de suite.

Accepter nos erreurs : la base de la Formation Bonheur d’Eduquer

Très rapidement, Alexandra Briand nous prévient que nous allons avoir un sentiment de culpabilité et que celui-ci doit être sain. C’est-à-dire que nous devons accepter nos erreurs et les voir comme un moyen de faire mieux : « avoir le courage d’être un parent imparfait ».

C’est assez rassurant, car on prend souvent en référence les « mamans parfaites » qui nous donnent l’impression d’être complètement dépassées par nos enfants. La Formation Bonheur d’Eduquer est claire là-dessus : la mère parfaite est un mythe, elle n’existe pas ! Vous pouvez rejoindre des dizaines de mamans imparfaites dans la formation d’Alexandra Briand, elle propose d’ailleurs un atelier gratuit d’1 heure ici.

Personnellement, j’ai toujours été convaincue par l’éducation bienveillante, mais, depuis l’arrivée de mon deuxième enfant, je n’y arrivais pas/plus. Je me sentais complètement dépassée et je ne me reconnaissais plus. Je passais mon temps à crier, à m’énerver pour rien et j’ai même commencé à mettre des fessées à ma grande.

La formation en ligne nous fait réaliser que ce n’est pas de notre faute :

  • Nous sommes imprégnés de l’éducation que nous avons-nous-même reçu, des codes de la société ;
  • Et au même titre que nos enfants, nous subissons nos émotions (stress notamment) et nos besoins physiologiques (sommeil, faim…)

Evidemment, ce n’est pas en 10 jours de formation en ligne que tout va miraculeusement changer. Mais rien que le fait de prendre conscience de nos erreurs, de les accepter et d’avoir la volonté de changer nous permet d’être apaisées et d’entamer ce cheminement plus sereinement.

Pour rendre effectif ce changement, la formation Bonheur d’Eduquer nous apporte des outils concrets.

Des outils concrets à mettre en place

J’ai toujours été persuadée que la violence physique ou verbale n’était pas une méthode éducative efficace. Et d’un autre côté, parler, expliquer, ne marchait pas non plus pour me faire entendre… On m’a recommandé plusieurs fois des livres à lire, mais, par manque de temps, je ne m’y suis jamais penchée (j’ai déjà une bonne pile de bouquins en attente…).

Avec la formation en ligne Bonheur d’Eduquer, j’ai trouvé une bonne alternative. Un condensé de toutes les informations importantes, expliqué dans un langage clair et d’une juste durée, pour pouvoir être suivi entre 2 occupations.

  • Gérer les émotions

Alexandra Briand nous donne tous les outils concrets pour gérer les émotions de nos enfants, mais aussi les nôtres (je crois que la clé de la bienveillance est là).

Elle nous explique également ce qui aggrave les crises des enfants, et comment agir à la place.

  • Les alternatives à la punition

La formation Bonheur d’Eduquer nous donne des alternatives à la punition, notamment les conséquences naturelles, pour n’en citer qu’une (et ne pas spoiler la formation).

Par exemple, si notre enfant ne veut pas mettre son manteau avant de sortir au parc, on lui explique que s’il a froid, nous rentrerons à la maison et ne ressortirons pas. Ainsi, l’enfant comprend de lui-même l’intérêt de mettre son manteau et la fois suivante nous n’aurons qu’à lui rappeler (mais il s’en souviendra certainement de lui-même).

Bienveillance et fermeté : le duo gagnant

Pas d’enfant Roi en éducation positive

Comme beaucoup de mamans, ma crainte avec l’éducation bienveillante était de faire de mes filles des « enfants-Rois ». En fait, je n’avais simplement pas saisi la notion de bienveillance.

Etre bienveillant ne signifie pas céder à tous les caprices de ses enfants, ni les empêcher de vivre toutes expériences négatives. Au contraire, j’ai réalisé qu’être un parent positif, c’est accompagner son enfant dans ses frustrations, lui apprendre à identifier, exprimer et gérer ses émotions.

Nous ne pouvons pas enfermer nos enfants dans une bulle, à un moment ou à un autre ils seront confrontés au monde extérieur et voleront de leurs propres ailes. Nous devons les accompagner vers l’autonomie et la vie en société. Et dans la vie, on n’a pas toujours ce que l’on veut, on subit des échecs etc., à nous de leur apprendre à accepter et rebondir. C’est ce que nous fait réaliser la formation en ligne Bonheur d’Eduquer.

L’impact de l’éducation bienveillante sur le développement des enfants

En fin de formation, Alexandra nous explique comment :

  • augmenter la confiance en soi de son enfant :
  • favoriser son sentiment d’appartenance ;
  • favoriser le sentiment d’existence ;
  • encourager efficacement son enfant.

Tout cela amène l’enfant à avoir une bonne estime de lui-même, et lui donne des bases solides pour toute sa vie. Je vous laisse découvrir ce point plus précisément, dans l’article « Méthode Montessori : un esprit d’entrepreneur avant 6 ans ? ».

Mon bilan 1 mois après la fin de formation Bonheur d’Eduquer

Je n’ai pas encore appliqué tous les outils proposés par Alexandra Briand, cette formation est le point de départ d’un long cheminement.

J’en suis au début, la prise de conscience et la « phase de correction » si on peut l’appeler ainsi. C’est-à-dire que j’essaye d’abord de corriger mes erreurs avant de proposer des changements à mes enfants (si je tente de leur apprendre à gérer leurs émotions, alors que je ne suis pas capable de le faire, cela n’a aucun sens). J’essaye, autant que possible, de prendre du recul sur chaque situation et surtout d’éviter le stress (facteur numéro 1 de perte de contrôle).

Quand je réagis sous la colère, alors je me reprends, je dis à ma fille que je suis désolée et lui explique pourquoi j’ai réagis ainsi, mon émotion etc. Ce simple exercice me persuade de l’efficacité de l’éducation bienveillante et des bienfaits de cette formation. Désormais, ma fille de 3 ans me dit spontanément après une bêtise (ou plutôt une expérience), « je suis désolée ». Elle a pris en modèle le fait de reconnaître son erreur. C’est tout bête, mais cela me fait automatiquement redescendre en pression. Par exemple, elle avait renversé un verre d’eau en voulant se servir, j’étais stressée pour d’autres raisons et allais m’agacer. Elle m’a dit « je suis désolée, j’ai raté », comment s’énerver après ça ? Je lui ai donc demandé ce que l’on faisait quand on renverse, et nous avons essuyé ensemble.

Au-delà des relations avec mes filles, cette formation m’a apaisée de façon globale. Je me comprends mieux, j’ai l’impression de mieux comprendre les autres. Finalement, la formation Bonheur d’Eduquer nous apprend la communication bienveillante de manière globale : petits ou grands, au fond nous fonctionnons tous pareil.

Je vous recommande évidemment à 200% la formation Bonheur d’Eduquer, d’autant que vous êtes satisfait ou remboursé et qu’elle est accessible à vie. Autant dire que vous ne prenez aucun risque, à part celui de devenir « un parent imparfait en chemin pour le meilleur »… Découvrez la formation gratuite ici.

  • Super article, j’ai adoré. Je flânais par là, ton titre m’a interpellé et du coup je me suis faite happer par ton article.

    • Merci beaucoup d’avoir pris le temps de laisser un commentaire. Pour le coup c’est toi qui m’a happé ^^ je regardais une vidéo YouTube, j’ai reçu la notif mail et j’ai filé pour te répondre, enjouée de recevoir un message sympathique 🙂

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